
Après un samedi détendu, où les professionnels du voyage sont partis en excursion à Reus ou Valls – deux villes proches – et ont ensuite accompli ensemble un exercice de teambuilding dans le parc PortAventura, le congrès a repris dimanche matin pour une dernière fois. Eh oui, vous avez bien lu : même le dimanche, on travaille !
Du côté flamand, Dado Van Peteghem a présenté une conférence sur l’histoire courte mais significative du dernier né technologique : l’intelligence artificielle (IA), omniprésente et sujette à débat.
Van Peteghem a revisité de manière perspicace les principales évolutions, produits et possibilités de l’IA générative. Il a lié cela aux opportunités qu’elle offre à une entreprise (de voyage) en termes d’efficacité. Selon Van Peteghem, les emplois ennuyeux, répétitifs et dangereux finiront par disparaître, libérant ainsi plus de temps pour le véritable travail. Cela signifie concrètement, par exemple, moins de temps passé à la préparation des devis et plus de temps pour le contact client : un véritable atout pour l’agent de voyages ! Pendant la pause, nous avons entendu des voix enthousiastes à propos de la présentation de divers coins. Ce sujet a manifestement suscité un grand intérêt parmi les professionnels du voyage.
Les professionnels du voyage francophones avaient déjà reçu une présentation sur l’IA de Guy Botson vendredi matin. Ils ont eu dimanche le temps de se réunir avec les membres de l’UPAV pour discuter des questions nécessaires. Ensuite, tous les professionnels du voyage se sont réunis pour une présentation de la Belgian Travel Confederation (BTC). Anne-Sophie Snyers et Sebastien Pauwels ont passé en revue les derniers développements de la réglementation européenne, principalement en matière de durabilité. La BTC traduit ces directives et législations en formations, permettant aux professionnels du voyage de se former et d’obtenir divers certificats reconnus en Europe.
Pour conclure, Jan Peeters de notre propre équipe a exprimé sa gratitude, son appréciation et son respect pour l’organisation du Belgian Travel Congress. Cette initiative est un exemple parfait de la manière dont nous devrions collaborer dans ce monde devenu fou. En résumé, le congrès est essentiel pour favoriser la collaboration – au-delà de la frontière linguistique. Voilà le bilan des quatre derniers jours !
Un compte-rendu de A à Z du Belgian Travel Congress, y compris des photos, paraîtra dans la prochaine édition du TravMagazine BeLux. Probablement dans une grosse semaine dans votre boîte aux lettres !