
Brussels Airlines vise à réduire de moitié ses émissions de CO2 d’ici 2030 par rapport à 2019. D’ici 2050, la compagnie aérienne veut être neutre en CO2.
Aujourd’hui, le renouvellement de la flotte est la mesure la plus efficace pour réduire les émissions de CO2 et de bruit des vols.
En plus des trois A320 neo (New Engine Option) neufs qui rejoindront la flotte de Brussels Airlines en 2023, la compagnie – avec l’aide du groupe Lufthansa – investit dans deux autres A320 neo neufs. Les deux nouveaux A320 neo quitteront l’usine d’Airbus en 2024 et remplaceront des anciens A319 de la flotte de Brussels Airlines.
Peter Gerber, CEO de Brussels Airlines: “En plus du renouvellement de notre flotte, l’intermodalité et les carburants alternatifs sont des leviers importants pour réaliser nos ambitions climatiques.”
“La connexion de Brussels Airport au réseau de trains à grande vitesse est essentielle pour réduire les vols court-courriers. Ce n’est pas le cas aujourd’hui. En outre, la plupart des émissions proviennent des vols long-courriers, pour lesquels il n’existe aujourd’hui aucune alternative appropriée. C’est pourquoi nous devons, avec l’ensemble du secteur, investir davantage dans des alternatives aux combustibles fossiles. Chez Brussels Airlines, nous aspirons à effectuer le premier vol avec du carburant d’aviation durable (SAF) en 2023. Toutefois, pour pouvoir utiliser à grande échelle ce SAF plus respectueux du climat, des investissements importants devront être réalisés dans les installations de production. Des investissements que nous, en tant que secteur, ne pouvons pas supporter seuls.”
Foto: Peter Gerber, CEO Brussels Airlines. © Brussels Airlines