
À l’invitation d’Air Europa et de Brussels Airport, un grand nombre d’ambassadeurs d’Amérique latine et d’autres pays hispanophones se sont réunis la semaine dernière, au restaurant belgo-belge Aux Armes de Bruxelles. C’est devenu une réunion plutôt informelle de représentants officiels de pays et d’un continent, où le tourisme reprend de la vigueur après la pandémie.
La plupart des ambassadeurs avaient déjà une solide carrière derrière eux, et pouvaient donc comparer différents pays et marchés. Maintenant, ils sont toujours diplomates : pas un mot désobligeant sur les villes et pays respectifs qu’ils ont déjà visités. Pourtant, plusieurs entretiens ont révélé que la Belgique, et Bruxelles en particulier, est un poste convoité pour plusieurs raisons, parmi ces hauts fonctionnaires. Bien sûr, il y a la combinaison de la Belgique et de l’Europe, qui rend le travail d’un diplomate beaucoup plus difficile que dans beaucoup d’autres pays.
Bruxelles s’avère être une ville avec une qualité de vie particulière, un attrait cosmopolite et un environnement commercial stimulant pour les expatriés étrangers.
Du point de vue du tourisme, le marché belge est considéré comme un marché de qualité, les voyageurs visitant généralement les pays d’Amérique latine avec un “esprit ouvert” et un vif intérêt. Des voyageurs au budget solide également, qui n’hésitent pas à se rendre sur place pour découvrir, profiter et acquérir de nouvelles expériences.
Autre fait marquant : la plupart des ambassadeurs avec lesquels nous nous sommes entretenus ont spontanément abordé le sujet de la “sécurité” dans leur pays. De nombreux pays ont fait de gros efforts dans ce domaine, pour améliorer en profondeur tant la situation sur le terrain que leur réputation en matière de sécurité. Les attentes en termes de croissance du nombre de touristes sont donc élevées, avec un accent particulier sur le tourisme rural, écologique et culturel.