
Nous avons de nouveaux voisins dans notre immeuble de bureaux à Vilvoorde : Avitour emménage dans les “bureaux adjacents” au deuxième étage. Cela donnera lieu à de nombreuses conversations intéressantes dans les couloirs et à la machine à café. (C’est merveilleux que cela soit à nouveau possible, d’ailleurs !)
Le stratège d’Avitour, Alain Kisiel, nous a dit, dans le cadre d’une conversation sur les réservations d’été, qu’Avitour et, selon ses contacts, une grande partie du reste de la distribution de voyages connaît une bonne année. Alain : “Les agents de voyage dynamiques voient leurs efforts récompensés, ils obtiennent une forte demande et des taux de conversion élevés et voient de nouveaux clients faire appel à leurs services. Une évolution qui se poursuit depuis le début de l’année, plusieurs de nos membres étant même en mesure d’enregistrer des chiffres d’affaires supérieurs à ceux de 2019.”
“Le seul moment où tout le monde a remarqué un ralentissement des réservations, c’est en mars, au début de la guerre. Mais en avril, mai et juin, les réservations ont continué à grimper en flèche. Pendant les mois d’été également, malgré le beau temps et les informations faisant état de situations chaotiques, la demande de vacances de dernière minute est restée ferme. Nous et nos membres ne pouvons donc qu’être satisfaits, aujourd’hui”.
Lorsqu’on lui demande comment le chef expérimenté d’Avitour évalue l’influence de la crise économique et des prix élevés de l’énergie, il répond prudemment : “Cela a toujours une influence. La question est de savoir quelle sera l’ampleur de l’impact réel sur les budgets familiaux. Je suis sûr, et nous avons déjà pu le constater cet été, que les consommateurs à faibles revenus vont changer leurs projets de vacances. Ils sont plus susceptibles d’opter pour des vacances dans leur propre pays et/ou un voyage en voiture. L’impact sur la classe moyenne bien rémunérée n’est pas perceptible pour l’instant.