
TravMagazine BeLux et Travel360° ont organisé une enquête* pour connaître l’état actuel du secteur belge du voyage. Nous en parlerons en détail dans le dernier numéro de TravMagazine BeLux (#5 – 25 février), mais nous partageons déjà quelques résultats remarquables.
La situation de crise évoluant et s’améliorant de jour en jour, nous avons demandé aux professionnels du voyage leur sentiment sur l’avenir proche. En général, nous constatons que les professionnels du voyage envisagent l’avenir immédiat avec une confiance croissante. Nous constatons que les consommateurs veulent réaliser leurs projets de voyage et que les demandes se transforment en réservations, y compris pour les vacances d’été et les destinations lointaines.
La fameuse ‘lumière au bout du tunnel’ commence à briller de tous ses feux.
62 % reviennent à des heures d’ouverture normales
‘Portes ouvertes, bureaux occupés : prêts à travailler – la plupart en tout cas! !’
62% des correspondants ont indiqué qu’ils ont ouvert toutes leurs portes. 38% ont des heures d’ouverture limitées à très limitées. Mais dans quelle mesure s’agit-il d’une réorientation consciente vers une politique d’ouverture plus sélective ? 28% des répondants travaillent uniquement sur rendez-vous, un chiffre étonnamment élevé.
42% reçoivent des questions sur les voyages à longue distance
‘Il y a une demande pour les voyages lointains !’
La demande de voyages long-courriers est en hausse, par rapport à notre enquête du dernier trimestre 2021. 71% des répondants sont interrogés sur les voyages long-courriers au moins occasionnellement. Une minorité de 19% ne se sent pas (encore) concernée par cette question.
La demande de destinations long-courriers se matérialise dans les demandes dans la mesure où les destinations sont plus faciles à atteindre, avec de moins en moins de tests et de règles.
60% sont déterminés à survivre à la crise
‘Du sang, de la sueur et des larmes, mais surtout place à l’avenir !’
Une majorité de 61 % d’entre eux déclarent avoir renoncé à la crise de deux ans, mais sont déterminés à y survivre. Si l’on ajoute à cela les 32 % qui se disent totalement préparés pour l’avenir, le tableau est clair : la “mère de toutes les crises” a violemment frappé le secteur du voyage, mais “nous survivrons” !
7% indiquent qu’ils dépendent actuellement de l’aide gouvernementale.



